Une grande nouvelle est confirmée : la venue de Soeur Sara, représentante et continuatrice de l'oeuvre de Soeur Emmanuelle à VIVIERS pour le rassemblement des jeunes qui aura lieu le mercredi 26 mai 2009. Marquez déjà cette date dans votre agenda car c'est un évènement important.
Sœur Sara est née le 3 janvier 1946 à Minia en Haute Égypte. Elle fait ses études dans l'école francophone des soeurs de Saint Joseph à Minia puis elle entre en religion dans la congrégation Copte Orthodoxe des Filles de Marie.
Elle rencontre sœur Emmanuelle en 1976 et la seconder auprès des chiffonniers du Caire. Grâce à elle les projets s' élaborent : Priorité est donnée à l' école. En 1978 sour Emmanuelle et sour Sara s' envolent pour l'Europe et l' Amérique à la recherche des fonds indispensables pour que construire les premiers bâtiments.
De 1979 à 1982 à Ezbet-el-Nakhl elles créent le jardin d' enfants, l' école, le dispensaire, la maternité, le centre de formation professionnelle, l' ouvroir, le home pour mères célibataires. Il faut aussi s' entourer de collaborateurs qualifiés : monitrices, enseignantes, techniciens, animateurs et infirmières. Les engager et les rétribuer aussi avec les dons reçus de l' extérieur. Les amis s' organisent en associations comme l' opération Orange avec des relais dans toute la France.
En plein milieu du dépotoir, soeur Sara a planté des fleurs pour montrer à tous les enfants qu 'il y avait autre chose que les tas d' ordures. Elle organise des promenades au bord du Nil, au jardin zoologique. Près d'Ismaïlia, on arrive à obtenir « la maison du bonheur » où par vagues, les enfants peuvent venir passer quelques jours dans un vrai paradis. Au fil des années l' école s' ouvre à tous ces jeunes des bidonvilles, plus propres, bien habillés grâce aux vêtements confectionnés à l' ouvroir et achetés pour une somme modique.
1981, les chiffonniers de Mokattam font appel à ces 2 soeurs. Elles vont venir s' installer avec eux au bidonville. Fortes de l' expérience vécue elles recommencent et le cour plein d' amour, se mettent au service de cette jeunesse, de ces enfants hirsutes et sales. Scolariser, soigner les même urgences.
1986-1988 Construction de logements en dur avec des volontaires de France, de Belgique, d' Italie, de Suisse, d' Allemagne : les 850 logements sont vite occupés.Pendant toutes ces années Soeur Sara assume les responsabilités pendant que soeur Emmanuelle parcourt le monde pour recueillir des fonds. Ainsi, quand soeur Emmanuelle prendra sa retraite, soeur Sara sera là pour prendre la relève et assurer la continuité et le développement de son oeuvre. Quand à la récolte des fonds, diverses associations dans plusieurs pays prennent chacune une part de cet immense héritage.
Voilà la présentation de Sara qui nous fera l' honneur de sa présence à Viviers. Par notre présence nous lui montrerons l' admiration et le respect qu 'elle inspire et qu 'elle mérite pour l'oeuvre accomplie.
Pour en savoir plus sur l'opération Orange cliquez ici
Elle rencontre sœur Emmanuelle en 1976 et la seconder auprès des chiffonniers du Caire. Grâce à elle les projets s' élaborent : Priorité est donnée à l' école. En 1978 sour Emmanuelle et sour Sara s' envolent pour l'Europe et l' Amérique à la recherche des fonds indispensables pour que construire les premiers bâtiments.
De 1979 à 1982 à Ezbet-el-Nakhl elles créent le jardin d' enfants, l' école, le dispensaire, la maternité, le centre de formation professionnelle, l' ouvroir, le home pour mères célibataires. Il faut aussi s' entourer de collaborateurs qualifiés : monitrices, enseignantes, techniciens, animateurs et infirmières. Les engager et les rétribuer aussi avec les dons reçus de l' extérieur. Les amis s' organisent en associations comme l' opération Orange avec des relais dans toute la France.
En plein milieu du dépotoir, soeur Sara a planté des fleurs pour montrer à tous les enfants qu 'il y avait autre chose que les tas d' ordures. Elle organise des promenades au bord du Nil, au jardin zoologique. Près d'Ismaïlia, on arrive à obtenir « la maison du bonheur » où par vagues, les enfants peuvent venir passer quelques jours dans un vrai paradis. Au fil des années l' école s' ouvre à tous ces jeunes des bidonvilles, plus propres, bien habillés grâce aux vêtements confectionnés à l' ouvroir et achetés pour une somme modique.
1981, les chiffonniers de Mokattam font appel à ces 2 soeurs. Elles vont venir s' installer avec eux au bidonville. Fortes de l' expérience vécue elles recommencent et le cour plein d' amour, se mettent au service de cette jeunesse, de ces enfants hirsutes et sales. Scolariser, soigner les même urgences.
1986-1988 Construction de logements en dur avec des volontaires de France, de Belgique, d' Italie, de Suisse, d' Allemagne : les 850 logements sont vite occupés.Pendant toutes ces années Soeur Sara assume les responsabilités pendant que soeur Emmanuelle parcourt le monde pour recueillir des fonds. Ainsi, quand soeur Emmanuelle prendra sa retraite, soeur Sara sera là pour prendre la relève et assurer la continuité et le développement de son oeuvre. Quand à la récolte des fonds, diverses associations dans plusieurs pays prennent chacune une part de cet immense héritage.
Voilà la présentation de Sara qui nous fera l' honneur de sa présence à Viviers. Par notre présence nous lui montrerons l' admiration et le respect qu 'elle inspire et qu 'elle mérite pour l'oeuvre accomplie.
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Cet article est la synthèse d'une présentation de l'action de Soeur Sara sur le site suivant que nous vous suggérons de consulter pour plus de renseignements : http://www.mincoin.com/infos/soeur-sara.php
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